Fêtes de fin d’année : 4 bonnes raisons de récompenser ses salariés grâce aux « œuvres sociales »
Par tradition et par conviction (surtout), le chef d’entreprise profite des fêtes de Noël pour célébrer l’engagement et récompenser ses salariés. 2021 n’étant pas une année ordinaire, l’initiative du dirigeant ne peut être ordinaire : le dispositif des « œuvres sociales » lui permet d’endosser le costume de père Noël, avec un impact durable sur la motivation et la reconnaissance. Décryptage d’un geste barrière… à la morosité.
« A l’image de ce qu’on a observé en sortie de premier confinement, les dirigeants d’entreprise ont besoin de marquer le coup pour leurs salariés : soit pour les récompenser d’avoir mis les bouchées doubles pendant une période intense, soit pour leur renouveler leur attachement quand les conditions de travail les ont tenues à distance de leur quotidien professionnel, analyse Brice Bonnaigue, directeur associé chez WiiSmile. Dans un tel contexte,le dispositif des œuvres sociales coche toutes les cases de l’équation à résoudre. »
Cette année, les dirigeants s’apprêtent à dire merci différemment
1) Proposer les mêmes avantages que dans un grand groupe ?
Proposer les mêmes avantages que dans un grand groupe
Le dispositif des Œuvres sociales consiste en une participation de l’employeur au financement des activités sociales et culturelles (ASC) des salariés. Ils en bénéficient pour l’achat de séjours de vacances (hébergements, voyages, avions…), sorties culturelles (billetterie, concerts, abonnements…), loisirs (licences sportives, entrées à la piscine, parc d’attraction,…), ou encore prestations de services à la personne (garde d’enfant, ménage, soutien scolaire,…). Déductible des charges de l’entreprise, cette ligne budgétaire est enregistrée dans le compte « 647 400 » en tant que versement aux œuvres sociales.
A travers elle, un dirigeant de TPE/PME donne la possibilité à ses salariés d’accéder à des avantages équivalents à ceux d’un grand groupe. Et même si l’entreprise n’a pas la capacité d’affecter du personnel dédié à ce sujet, elle peut en confier la gestion et l’animation à des acteurs spécialisés (tels que WiiSmile) agissant dans le respect des tolérances URSSAF.
Un dirigeant de TPE/PME donne la possibilité à ses salariés d’accéder à des avantages équivalents à ceux d’un grand groupe.
2) Participer aux projets de vie de ses équipes
Le dispositif des Œuvres sociales, c’est du gagnant-gagnant dans l’animation collective d’une entreprise. A la clé de cette démarche, l’entreprise manifeste de la reconnaissance à ses salariés – grâce à un budget exonéré de cotisations et contributions sociales – qui ont en retour le plaisir de donner vie à leur projet en famille.
C’est du gagnant-gagnant dans l’animation collective d’une entreprise
En s’appuyant sur un acteur spécialisé, tel que WiiSmile, tout dirigeant de PME alloue un budget œuvres sociales mensuel par salarié. Fondé sur un principe d’égalité et d’équité, son montant est identique pour chacun. Le dirigeant peut également procéder, plusieurs fois par an, à un versement exceptionnel (notamment sur la fin d’année…).
Il peut ainsi facilement améliorer la vie « perso » de ses collaborateurs, sans ingérence et avec élégance. Car il est aujourd’hui difficile pour une entreprise d’intervenir sur la qualité de vie au travail (QVT) de ses collaborateurs sans prendre en compte l’articulation entre leur vie professionnelle et leur vie personnelle. C’est encore plus vrai à l’ère du développement du télétravail.
Améliorer la vie « perso » de ses collaborateurs, sans ingérence et avec élégance.
3) Assumer le rôle sociétal de son entreprise
A l’initiative de l’employeur, le financement des activités sociales et culturelles (ASC) profite aux salariés et à leurs familles. Ce dispositif fait partie de la culture du travail en France. Il joue un rôle de ciment social, en cohérence d’ailleurs avec la Loi Pacte qui conforte la vocation sociétale de l’entreprise. Pour information, ces avantages ne sont pas assimilables à un salaire et c’est important que cela reste ainsi.
Depuis leur origine au XIXème siècle, l’histoire des Œuvres sociales est indissociable de l’histoire sociale et syndicale de notre pays. Jalonnée de nombreuses dates, elle est guidée par un principe très clair, consigné dans la circulaire ministérielle du 17 avril 1985 qui les encadre aujourd’hui : les avantages sociaux et culturels accordés par les entreprises à leurs salariés – par le biais directement de l’employeur ou par le CSE – ne rétribuent pas un travail. Ils ne récompensent pas non plus une performance. Sans discrimination aucune, ils constituent un outil social commun à tous, destiné à favoriser l’épanouissement des salariés et de leurs familles à travers l’accès à des loisirs, au sport et à la culture.
Ces avantages ne sont pas assimilables à un salaire et c’est important que cela reste ainsi.
4) Récompenser ses salariés en donnant le sourire à tout le monde !
Financer les ASC (activités sociales et culturelles) des collaborateurs n’est pas franchement d’actualité vous pensez ? Pas si sûr. Même si Covid 19 et confinement ont pris place dans les vies, on sait bien que tôt ou tard, il y aura de nouveau des départs en vacances, des billets de train à réserver, des journées parcs d’attraction à planifier, des soirées ciné en famille, etc. En versant des subventions sur les portefeuilles de leurs collaborateurs, ceux-ci peuvent prévoir de les utiliser pour des projets heureux et envisager plus joyeusement l’après-confinement. De quoi s’inscrire dans l’avenir, positiver et passer plus facilement une fin d’année 2021 qui, décidément, ne ressemble à aucune autre.
Compte tenu du thème, il aurait été tentant de laisser l’intelligence artificielle œuvrer pour la rédaction de cet article. Mais, chez WiiSmile, on préfère les
Compte tenu du thème, il aurait été tentant de laisser l’intelligence artificielle œuvrer pour la rédaction de cet article. Mais, chez WiiSmile, on préfère les
Les vacances représentent un luxe bien mérité pour les salariés de PME. Mais avec la crise économique actuelle, de nombreuses entreprises n’ont pas les moyens