D’un côté, la tentation pour l’entreprise de rattraper le manque à gagner des derniers mois en mettant les bouchées doubles. De l’autre, la nécessité de faire souffler des équipes que le confinement n’a pas épargnées : la période juillet-août met les acteurs de l’entreprise face à un dilemme que l’impact positif des congés (et leurs bénéfices sur l’engagement !) se charge d’arbitrer. Car les vacances, c’est l’assurance de…
Souffler pour revenir en pleine forme
Au risque d’enfoncer des portes ouvertes, il est bon de rappeler que les vacances ont toujours des effets positifs sur les collaborateurs. Si le déconfinement progressif a été le symbole d’un timide retour à la liberté, les vacances elles, déclencheront le soulagement tant attendu. Que les collaborateurs aient travaillé sur site, télétravaillé ou été en chômage partiel, la période qui vient de s’écouler les a éprouvés, peut-être plus encore que les années précédentes.
Profiter de jours de congés en famille a toujours été un facteur-clé pour garder un bon niveau d’engagement dans son travail ainsi que dans l’entreprise. Une étude américaine rappelle que 74 % des managers et responsables des ressources humaines considèrent aussi que la satisfaction au travail est améliorée par le fait de partir en vacances. Dans cette même étude, réalisée par la Society for Ressource Human Management, 62 % des sondés considèrent aussi que si leurs collaborateurs prenaient plus de vacances, ils seraient plus productifs.
Notre avis : il est indispensable de prendre en compte le moral des équipes et leurs attentes plutôt que risquer de se retrouver à l’automne avec des salariés sans énergie. L’enjeu est de pouvoir compter sur tout le monde sur la deuxième partie de cette année… extraordinaire.
Changer d’air… et relancer l’économie du tourisme
Une étude publiée par Tourmag (1), fin mai 2020, rapporte que 9 français sur 10 ont choisi la France pour leurs prochaines vacances. Rappelons que le secteur du tourisme, qui représente 8% du PIB, a été sévèrement touché par le confinement et ses conséquences.
Le pays s’apprête à vivre une année pénible, amputé des 38 millions de touristes qui manqueront à l’appel cet été (rapport CTE European Travel Commission avril 2020). Une situation d’urgence que le secrétaire d’Etat chargé du tourisme, Jean-Baptiste Lemoyne a dévoilée le 25 mai dernier, exhortant les citoyens français à privilégier la France cet été.
Notre avis : encourager ses salariés à prendre des vacances, c’est aussi contribuer à redonner des couleurs au secteur du tourisme et des loisirs, qui représente près de 3 millions d’emplois en France.
Respecter le point central de l’équilibre vie pro/perso
Difficile pour une entreprise de s’engager et d’agir pour améliorer le quotidien de ses collaborateurs, sans prendre en compte l’articulation entre leur vie professionnelle et leur vie privée. Selon plusieurs études, cette articulation reste d’ailleurs une source d’insatisfaction pour près de 40 % des salariés.
La longue période de confinement a mis en évidence le besoin de souffler, de reprendre une vie normale, de se ressourcer et de partager autre chose avec leur famille que le stress, les devoirs, les risques de contamination, etc. Dans cette équation, l’accès aux vacances – comme la pratique du sport, des loisirs et les sorties culturelles – joue un rôle fondamental sur le maintien de l’engagement et de l’ouverture d’esprit de tout individu.
Depuis sa création, WiiSmile permet à tout dirigeant de PME d’offrir à ses salariés la possibilité de vivre ces moments précieux. Nos dirigeants clients participent en moyenne à plus de 75 €(2) mensuels aux projets de chaque famille au titre des activités sociales et culturelles. Ils ont notamment l’opportunité de procéder à un versement exceptionnel à l’arrivée des vacances d’été.
En savoir plus sur l’avantage vacances de WiiSmile >>
Notre avis : ce geste de reconnaissance à l’égard des équipes s’intensifie d’année en année. Grâce à cette participation, l’entreprise démontre son attachement à l’équipe qui le rend par son engagement dans le travail.
(1) Enquête menée auprès de 5800 français du 22 au 28 mai 2020
(2) Chiffres observés depuis janvier 2020
