Christian Prieur dirige New MEKA, à Doussard (Haute-Savoie). Son entreprise, spécialisée dans le moule et l’usinage de précision, emploie une dizaine de salariés dont l’expertise est appréciée et reconnue.
Quels défis une entreprise comme la vôtre doit-elle relever ?
L’exigence de notre métier – la mécanique de haute précision – nous impose un niveau d’expertise élevé. Chez New MEKA, nous avons la chance de compter sur un effectif extrêmement compétent et consciencieux. Et je suis bien placé pour savoir qu’il n’est pas facile d’attirer des profils d’une telle qualité. Qui plus est à quelques dizaines de kilomètres de la Suisse, où les salaires proposés sont plus élevés.
Quels leviers sont actionnés chez New MEKA pour attirer et fidéliser les talents ?
Nous sommes attentifs à maintenir un vrai climat de confiance – l’autonomie est privilégiée –, tout en étant transparents sur les avantages mis à la disposition de l’effectif. Un salarié New MEKA bénéficie notamment de primes de production, d’une flotte de vélos électriques qu’il peut emprunter pour ses trajets domicile-travail, ou encore d’un accès à l’offre WiiSmile dont il profite comme il l’entend.
En quoi l’accès à WiiSmile constitue-t-il un atout pour les équipes ?
C’est une possibilité supplémentaire de satisfaire nos salariés. Grâce à WiiSmile, New MEKA leur fait bénéficier d’avantages sur des moments forts dans l’année, à travers la mise en place d’une participation valable sur les dépenses de vacances, les sorties culturelles ou sportives en famille… Je trouve que c’est une manière sympa de booster le moral de chacun !
En tant qu’employeur, qu’est-ce que le service vous apporte ?
Je n’ai pas de yacht sur la Méditerranée mais, grâce à WiiSmile, j’ai un CE et j’avoue que ça fait le même effet quand j’en parle à mes confrères ! (rires) Sincèrement, je suis d’autant plus convaincu que mes salariés se montrent pleinement satisfaits. Et c’est un petit plus qui va dans le sens de la philosophie que je défends.
Vous donnez le sentiment de prendre énormément de recul. Comment vous l’expliquez ?
Avec l’âge et l’expérience, certains disent la maturité, on apprend à relativiser et a sourire et sur les petits bobos de la vie, tout simplement ! A l’image de cette pensée du Dalaï-Lama que j’ai affichée sur mon ordinateur : « Ce qui me surprend le plus chez l’homme occidental c’est qu’il perd la santé pour gagner de l’argent, il perd ensuite son argent pour récupérer sa santé. A force de penser au futur il ne vit pas au présent. Il ne vit donc ni le présent, ni le futur. Il vit comme s’il ne devait jamais mourir et il meurt comme s’il n’avait jamais vécu. »