20 % des français partiront pendant les congés d’hiver. Et n’imaginez pas forcément la montagne comme point de chute incontournable : la semaine au ski est une réalité pour seulement un vacancier sur trois (8 % des français), finances obligent. Mais alors que fait-on de ses vacances de février ? La réponse en 5 questions.
Qui part en vacances sur la période février/mars ?
Une minorité de français : 1 personne sur 5 prend la tangente pour les vacances d’hiver, avec une réalité différente selon la catégorie socio-professionnelle. Seuls 9 % des ouvriers et employés partent contre 43 % des cadres. Côté finances, le budget moyen dépensé à cette période avoisine 1000 euros par vacancier pour un séjour d’une semaine.
Part-on plus en hiver que le reste de l’année ?
Non. La proportion de départ en vacances à cette période de l’année (20 % des français) est équivalente à celle enregistrée pour les vacances de la Toussaint ou de Pâques. Et les français sont moins nombreux à partir en février-mars que par le passé. Ils privilégient davantage les vacances de Noël (25 % de départ). Loin derrière l’engouement qu’on connaît pour les grandes vacances, où ce sont plus de 60 % de français qui partent sur la période juillet/août.
Que fait-on quand on ne part pas ?
80 % des français n’optent pas pour un départ en février-mars. Déjà parce qu’une majorité d’entre eux ne prend pas de congé à cette époque, ou décide de passer ses vacances à la maison pour faire une pause sans mettre en péril le budget vacances prévu pour l’été ! Ils se ressourcent alors en misant sur des activités locales. En tête desquelles le cinéma et le musée, dont les très belles fréquentations en 2019 rappellent leur importance dans l’épanouissement collectif ! Avec 213 millions de spectateurs l’an dernier, les salles obscures connaissent l’une de leur meilleure affluence depuis 50 ans. De son côté, la fréquentation des musées a progressé de 1 % (près de 49 millions de visiteurs).
Comment permettre à tout le monde de s’évader pendant ses vacances ?
En France, tout salarié peut bénéficier des Œuvres sociales ou O.S. ou encore ASC* : il s’agit d’un budget que son entreprise décide de mettre à sa disposition pour financer ses activités sociales et culturelles. Il peut en profiter pour ses vacances (hébergement, voyage, etc.), sorties culturelles (billetterie, concert, etc.), loisirs sportifs (licence de sport, entrée à la piscine, etc.), et même les services à la personne (garde d’enfant, ménage, etc.).
Pourquoi les « OS » sont utiles au salarié comme à son entreprise ?
Les « O.S. », c’est du gagnant-gagnant dans l’animation sociale d’une entreprise. A la clé de cette démarche ? Le plaisir pour l’entreprise de donner un coup de pouce à ses collaborateurs – grâce à un budget exonéré de cotisations et contributions sociales -, et le plaisir pour chacun d’entre eux de donner vie à leur projet en famille. Ce coup de pouce est une belle manière d’exprimer sa reconnaissance aux équipes qui, en retour, la rendent par l’engagement qu’elles mettent dans leur travail.
En fait les seuls perdants dans cette histoire sont les dirigeants et les salariés qui ignorent l’opportunité des OS ?
(*Sources Statista 2019, étude Poprock 2018, sondage annuel Mondial Assistance/OpinionWay)
Le chiffre : 800 euros/an
WiiSmile accompagne les dirigeants de PME dans leur démarche d’amélioration de la qualité de vie de leurs salariés, en facilitant la gestion et l’animation des OS. Ces dirigeants contribuent en moyenne à plus de 800 euros/an aux projets des famille au titre des activités sociales et culturelles. Ils peuvent procéder à plusieurs versements exceptionnels dans l’année, par exemple, à l’arrivée des vacances d’été ou des congés de fin d’année.